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Gendarmerie des transports aériens

- Wikipedia, 21/01/2012

Page d'aide sur l'homonymie Ne doit pas être confondu avec Gendarmerie de l'air.

La Gendarmerie des transports aériens (GTA) fait partie intégrante de la Gendarmerie nationale française.

Formation spécialisée de plus 1 000 personnels qualifiés en aéronautique et en sûreté aéroportuaire, elle est rattachée à la Direction générale de l'Aviation civile (DGAC). Implantée sur les grands aéroports, elle demeure compétente sur l'ensemble du territoire national pour les missions traditionnelles de la gendarmerie (police judiciaire, administrative et militaire) mais plus particulièrement pour une mission de police de la navigation aérienne (contrôle des aéronefs, constatations des infractions à la législation aéronautique, enquêtes judiciaires consécutives aux accidents et incidents d’aéronefs, et pour une mission de sûreté de la zone sensible réservée des aéroports (ZSAR). Ces professionnels de l'aéronautique, formés par l'École nationale de l'aviation civile, ont une connaissance parfaite de ce secteur aux multiples activités et concourent à la mise en application du concept intelligence économique territoriale dans sa composante de protection des entreprises.

Commandée par un officier Général, assisté d'un état-major implanté à Paris, la gendarmerie des transports aériens est articulée en deux groupements, onze compagnies, sept brigades d'Outre-Mer et une section de recherches.

Sommaire

Groupement Nord à Paris-Charles-de-Gaulle

Groupement Sud à Aix-en-Provence

Outre-mer

Section de recherches

Observateurs-Contre-tireurs

  • La gendarmerie des transports aériens possède une équipe d'observateurs-Tireurs (OT) plus connue sous l'appellation "Observateur-Contre-Tireurs". Ces gendarmes, issus d'un peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie des Transports Aériens, sont dotés d'une fusil de précision TIKKA T3.
  • Formée par le Groupe d'Intervention de la Gendarmerie Nationale (ex-GSIGN), cette équipe est chargée de la protection des hautes autorités françaises et étrangères, en transit sur les plates-formes aéroportuaires françaises, et plus particulièrement sur les aéroports parisiens. Ces contre-tireurs sont, chaque année, testés par des éléments du GIGN en vue d'une reconduction pour l'année suivante.

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