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Utilisateur:Dsant/ligonnes

- Wikipedia, 12/01/2012

Page Perso   affaire Dupont de Ligonnès


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Cet article ou cette section est lié à une affaire judiciaire en cours.
Le texte peut changer fréquemment, n’est peut-être pas à jour et peut manquer de recul. N’oubliez pas que dans nombre de systèmes judiciaires, toute personne est présumée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été légalement et définitivement établie.
N’hésitez pas à participer et à citer vos sources.

L?affaire Dupont de Ligonnès, aussi appelée la tuerie de Nantes, est un quintuple meurtre survenu à Nantes, en Loire-Atlantique. Cinq membres d'une même famille, les Dupont de Ligonnès, sont assassinés début avril ; leurs corps sont retrouvés le 21 avril 2011, dans leur maison nantaise. Le père de famille, Xavier Dupont de Ligonnès, reste introuvable et devient de fait le suspect n° 1. Il fait l'objet d'un mandat de recherches international.

Sommaire

Les faits

La famille Dupont de Ligonnès

Les armoiries de la famille Dupont de Ligonnès, dans la ville de Pomayrols, en Aveyron.

La famille Dupont de Ligonnès est une ancienne famille noble française originaire du Vivarais[1]. Elle résidait au 55 boulevard Schuman à Nantes[2], une maison sobre dans un quartier ouest de la ville.
Parmi les membres de cette famille originaire d'Ardèche et de Lozère, Édouard du Pont de Ligonnès (1797-1877) épouse Sophie de Lamartine, la propre s?ur du poète tandis que leur dernier fils, Charles du Pont de Ligonnès, est devenu évêque de Rodez. Le vrai patronyme de la famille était autrefois "de Molin du Pont de Ligonnès". Il a changé tout d'abord au 17ème siècle par l'abandon du nom "de Molin" puis au 19ème siècle à la suite d'une erreur dans l'état civil ou "du Pont" est devenu "Dupont". Le nom "du Pont" venait de la seigneurie et du château du Pont-de-Mars au Chambon-sur-Lignon. Xavier Dupont de Ligonnès ayant un demi-frère, le nom de cette famille ne s'éteindra probablement pas[3].

Les parents

Xavier, le père

Xavier Dupont, comte de Ligonnès, né le 9 janvier 1961 à Versailles, fils d'Hubert Dupont, comte de Ligonnès (1932 - 20 janvier 2011), ingénieur en physique nucléaire ayant abandoné son foyer pour fuir le fisc lorsque Xavier avait 10 ans[4], et de Geneviève Lemaitre[5], était gérant-salarié de la société SELREF à Pornic (Loire-Atlantique). Il a créé plusieurs petites structures, sans succès :

  • la SELREF : en 2003, il avait embauché 6 commerciaux qui durent être licenciés[6],
  • la Route des Commerciaux, un guide d'hôtels et de restaurants pour VRP,
  • Carte Crystal, un « projet de système de fidélisation de clientèle pour les restaurants »,
  • une Fédération française des commerciaux.
  • En 2003 il a voulu lancer une entreprise dans le même domaine aux Etats-Unis, à Miami, nomnée "Netsurf Concept"[7]. Pour cela il avait comme intermédaire rémunéré M Gérard Corona[8]

Il est considéré par la justice comme étant le principal témoin et suspect présumé dans l'assassinat de son épouse et ses quatre enfants. Après la découverte des corps enterrés dans le jardin de la maison familiale, la police s'est mise à sa recherche mais Xavier Dupont de Ligonnès reste introuvable. D'après le procureur, s'appuyant sur des témoignages de la famille, Xavier Dupont de Ligonnès aurait déclaré par courrier, afin de justifier son absence et celle de sa famille « qu?il était en quelque sorte un agent secret pour le compte des États-Unis et devait y retourner dans le cadre d?un programme de protection de témoin pour assister à un procès contre la drogue »[9].

Suite à la disparition de Xavier Dupont de Ligonnès et parallèlement aux éléments d'enquête policière relayés par les médias, un groupe d'internautes réunis sur Facebook s'est mobilisé pour mettre à jour les traces qu'il aurait laissées sur la toile[10]. Parmi celles-ci, des discussions théologiques publiées, sous plusieurs identités, sur le forum chrétien La Cité catholique révèlent un caractère obsessionnel. Finalement, il s'est fait bannir du forum. D'après le témoignage d'un proche, il "ne mettait jamais les pieds à l?église"[11].

Agnès, la mère

Son épouse, Agnès Hodanger, née le 9 novembre 1962 à Neuilly-sur-Seine, est une adjointe à la vie scolaire au lycée Blanche-de-Castille de Nantes, où elle enseigne également le catéchisme. Agnès est décrite comme une femme très pieuse, croyante[12], se rendant régulièrement à la messe avec ses enfants, décrite également par les paroissiens comme une femme gentille et autoritaire avec ses enfants. Agnès Hogander avait 48 ans lors de sa mort, assassinée par deux balles dans la tête.

En 2004, soit sept ans avant le drame, elle s'était confiée longuement sur le forum Doctissimo, témoignant des difficultés que connaissaient le couple et la famille, expliquant, entre autres déclarations, que son mari lui aurait dit qu'une mort collective ne serait pas une catastrophe[13].

Les enfants

Arthur

Arthur Nicolas Dupont de Ligonnès est né le 7 juillet 1990, reconnu par Xavier Dupont de Ligonnès lors de son mariage avec Agnès, deux ans après la naissance de cet enfant. Étudiant en BTS à l'établissement privé Saint-Gabriel, situé à Saint-Laurent-sur-Sèvre, en Vendée, Arthur est aussi employé de restauration, dans une pizzeria de Nantes[14]. Il est décrit par ses amis comme étant joyeux, plein d'énergie et aimé de tous. Il avait de nombreux amis avec lesquels il faisait souvent la fête. Arthur avait 20 ans à sa mort, il a été assassiné de deux balles dans la tête.

Thomas

Thomas Dupont de Ligonnès est né le 28 septembre 1992 à Draguignan. Passionné de musique, il était étudiant en musicologie à Angers et dormait dans le foyer de son établissement, où il est décrit comme un « garçon sans histoire souvent accompagné de sa famille qui venait le déposer ou le rechercher »[15], alors que plusieurs de ses camarades se souviennent d'un garçon « très discret »[16]. Thomas avait 18 ans lors de sa mort, il a été tué de deux balles dans la tête.

Anne

Anne Dupont de Ligonnès est née le 2 août 1994 à Draguignan. Lycéenne en 1re Scientifique, elle est décrite par ses amies et proches comme une fille suivant l'exemple de sa mère, croyante, pieuse, ouverte aux autres et attentionnée[17]. Ses absences répétées sur Facebook et les appels de téléphone de ses amis laissés sans réponse avaient inquiétés ces derniers. Anne avait 16 ans lorsqu'elle a été assassinée de deux balles dans la tête.

Benoît

Benoît Dupont de Ligonnès est né le 29 mai 1997. Collégien, il est le dernier enfant des Dupont de Ligonnès. Il était populaire dans son collège, selon ses amis et camarades, et plaisait aux filles[18]. Il était enfant de choeur à l'église Saint-Félix. Benoît avait seulement 13 ans à sa mort, il a été tué de trois balles dans la tête et de trois balles en pleine poitrine

Les meurtres

Derniers gestes de la famille

  • Le bail de la maison a été résilié,
  • Tous les comptes bancaires ont été clôturés,
  • L'école des enfants a reçu un solde de tout compte,
  • L?employeur d'Agnès est informé qu'elle souffre d'une gastro-entérite, puis qu'elle s'en allait en Australie,
  • Un message indique sur la boîte aux lettres : « Courrier à retourner à l'expéditeur. Merci. »
  • La maison a été entièrement vidée.
  • Il y a également l'achat de balles de carabine le 12 mars[19].
  • Le père était inscrit au Stand National de tir Charles Des Jamonières de Nantes où il est allé à 4 séances entre le 26 mars et le 1er avril[20]. Il avait obtenu sa licence le 2 février 2011. Thomas et Benoît avaient commencé l'initiation. Arthur aurait dû également y aller.
  • Xavier Dupont de Ligonnès aurait acheté du ciment le 1er avril, ainsi qu'une bêche et une houe, puis le 2 avril, 4 sacs de chaux de 10 kg chacun, dans différents magasins de la région nantaise[21].
  • Les enquêteurs ont également acquis la certitude que le couple et trois de ses enfants ont dîné le soir du 3 avril dans un restaurant nantais[22]. Ce soir là ils sont également allés au cinéma[23].
  • D'apres RTL sa soeur, Christine de Ligonnès, à passé entre 20 et 30 minutes au téléphone avec lui le 4 avril[24]. il avait l'air tout à fait normal au bout du fil.
  • Le père a dîné avec son fils Thomas en tête à tête le lundi soir 4 avril dans un restaurant gastronomique de la périphérie d'Angers, "Le Cavier / la Croix Cadeau"[25] à Avrillé. Les deux serveurs qui officiaient ce soir-là se souviennent que le jeune homme de 18 ans ne se sentait pas très bien vers la fin du repas et que le dîner était des plus silencieux[26],[27].
  • Le 5 avril, un huissier de justice, chargé de recouvrir une dette de 20 000 euros, se rend à la maison familiale, mais trouve porte close.
  • Deux témoins du voisinage sèment le doute sur la date supposée du décès d'Agnès de Ligonnès. Elle aurait été aperçue devant son domicile le 5 avril vers midi 15 - midi 30, et le 7 avril.
  • Cette même semaine, des voisins entendent les chiens de la famille hurler deux nuits durant, puis plus rien.

La disparition des membres de la famille

Le départ d'Arthur

Le fils ainé Arthur quitte la Vendée où il est étudiant le vendredi 1er avril, mais ne rejoint pas le soir même la Pizzeria où il travaille, et où il devait recevoir son salaire, ce qui intrigue l'employeur du jeune homme qui affirme que l'aîné de la famille venait pourtant toujours chercher sa paye du mois[28].

Le 6 avril, la petite amie d'Arthur, inquiète de ne pas avoir eu de nouvelles de son compagnon est venue frapper à la porte de la maison familiale des Dupont de Ligonnès, où « une lumière éclairait encore le premier étage » mais les deux labradors de la famille n'aboyaient pas à ce moment-là.

L'absence d'Anne et Benoît remarquée dans leur établissement scolaire

Les deux derniers enfants, Anne et Benoît, étaient scolarisés au collège catholique La Perverie Sacré-C?ur, où ils sont constatés absents le lundi 4 avril[29]. Leurs camarades, intrigués par une telle absence, évoquent la rumeur d'un départ en Australie où le père, Xavier, aurait été muté. Or, certains amis des deux jeunes adolescents ont trouvé suspect le fait qu'ils n'aient pas été prévenus par leurs camarades de ce « départ » en Australie et ont cherché à contacter Benoît et Anne sur Facebook ou par SMS, ce qui s'est révélé sans résultat.

Les témoignages d'un ami et de l'ex-petite amie de Thomas

Or, le 25 avril, un ami de Thomas, étudiant en musicologie comme lui, affirme au journal Le Parisien - Aujourd'hui en France sous couvert d'un faux nom, que Thomas a passé l'après-midi du mardi 5 avril en sa compagnie dans son domicile d'Angers où ils ont fait de la musique et regardé la télévision[30]. Le fils cadet des Dupont de Ligonnès s'apprêtait alors à passer la nuit chez son ami quand le père de Thomas, Xavier, aurait appelé son fils pour qu'il rentre à Nantes au chevet d'Agnès, sa mère, qui aurait eu « un accident de vélo ». Thomas a dîné rapidement chez son ami puis a pris le train vers 22 h 00. Le lendemain, son ami cherche à avoir des nouvelles mais se voit répondre de courts SMS comme « Je rentre pas chez toi. Je suis malade », ou encore « Malade à crever, je ne vais pas en cours ». Deux jours après le départ de Thomas, son ami reçoit un SMS : « Je n'ai plus de batteries, mon père va me chercher un nouveau chargeur ». Puis l'ami de Thomas n'a plus eu de nouvelles de la famille.

Le lendemain, Pauline, une ex-petite amie et camarade de classe de Thomas, témoigne sur RTL et se souvient d'un « garçon blagueur, souriant, joyeux »[31]. La jeune femme déclare qu'ils sont sortis tous les deux « pas longtemps » et décrit son ex-compagnon comme « quelqu'un de très très gentil, toujours à l'écoute (...) très proche de ses frères, de sa s?ur, de sa mère et de son père (...) passionné de musique et de cinéma ». De plus, elle déclare qu'elle lui a parlé sur Facebook le mardi 5 avril lorsqu'il se trouvait chez son ami, et qu'il lui a paru « bizarre sur la manière d'écrire » lorsqu'il lui a confié que sa mère avait eu un accident de vélo selon son père et qu'il devait rentrer chez lui le soir-même. De même, la veille de cette journée, le lundi 4 avril, elle avait aperçu Thomas « seul », tout comme le mardi 5, où l'adolescent lui a dit qu'il « allait sécher les cours du mercredi pour venir faire une répétition », répétition où il n'était pas venu, ce qu'il « ne lui ressemblait pas ».

L'assassinat de la famille

Il semblerait que les victimes aient été abattues à bout portant pendant leur sommeil, avec une carabine 22 Long Rifle. Le père possède une arme de ce calibre, héritée de son père, trois semaines avant le meurtre[32].

Les deux labradors

Les deux chiens de la famille, des labradors, ont été aussi abattus et enterrés.

La disparition de Xavier Dupont de Ligonnès


A partir de ce moment, la famille est probablement déjà morte

  • Le jeudi 7 avril, il aurait été vu faisant plusieurs allers-retours et transportant des gros sacs et cabas à sa voiture Citroën C5[33].
  • Le 8 avril, il communique sur le forum catholique cite-catholique.org[34]. D'après le procureur de la république, il "s'est connecté pour la dernière fois le 8 avril, à partir de l'adresse IP du domicile nantais de la famille"[35].
  • Le 8 avril également, il envoi un email à son beau frère, époux de Christine sa soeur : « Tout va bien, Bertram, tu auras bientôt des nouvelles plus longues par Christine. À plus. Amicalement. Xavier »[36]
  • Il passe la nuit du 11 au 12 avril à Toulouse.
  • Puis, il repart avec sa Citroën C5.
  • Il passe la nuit du 12 au 13 avril à l'Auberge de Cassagne sur la commune du Pontet (Vaucluse), sous la fausse identité de M. Laurent Xavier. Paye 214,59 ? par carte bleue.
  • Le 14 avril, il retire 30 ? à un distributeur automatique de billets.
  • Le soir, il dort au Formule 1 de Roquebrune-sur-Argens (Var), il est filmé par une caméra de vidéosurveillance[37].
  • A quelques kilomètres de Roquebrune-sur-Argens, Colette Deromme disparaît le 15 avril de sa villa de Lorgues (Var) de façon mystérieuse, sans prendre son véhicule ni ses clefs, sans laisser aucune trace ou indice aux enquêteurs. Les époux Dupont de Ligonnès ont habité Lorgues dans les années 1990, où sont nés deux de leurs enfants. Un rapprochement a été proposé entre ces deux faits divers, Xavier Dupont de Ligonnès étant alors dans la région[réf. nécessaire]. Lorgues et le Formule 1 sont distants d'une trentaine de km.
  • Dans la nuit du 21 au 22, sa voiture, une Citroën C5 bleu métallisé immatriculée 235 CJG 44[38], est repérée sur le parking du Formule 1 par des gendarmes, équipés d?un logiciel de lecture automatique des plaques d?immatriculation, relié au fichier des véhicules recherchés[39].
  • Les enquêteurs se tournent aussi vers la piste d'un monastère. Xavier Dupont de Ligonnès aurait pu se retirer dans un monastère, lieu qui garantit la discrétion et qui apparaît comme idéal pour un fugitif[40]
  • Le 5 mai, une lettre tapée sur ordinateur, datée du 11 avril et destinés à ses proches est révélée par la presse. Or, cette lettre n'est pas signée de la signature de Xavier et sa datation est incertaine. La date peut avoir été rajoutée. Rien ne prouve en effet que cette lettre ait été rédigée par Xavier de Ligonnès. Aucune analyse ADN de cette lettre n'est connue à ce jour.
  • Le 10 mai, un mandat d'arrêt international est officielement délivré à l'encontre de Xavier Dupont de Ligonnès par le procureur de la République de Nantes, Xavier Ronsin[41].

Les obsèques d'Agnès Dupont de Ligonnès et de ses quatre enfants

Les obsèques de la famille ont été célébrées le jeudi 28 avril 2011 à 14 h 30 en l'église Saint-Félix de Nantes. La famille de Ligonnès fréquentait régulièrement cette paroisse où le plus jeune, Benoît (13 ans), était enfant de choeur. 1 400 personnes étaient présentes à la célébration[42].

La famille a demandé une célébration sobre, sans fleurs ni couronnes. Un important dispositif de sécurité a été mis en place.

Les inhumations ont eu lieu le samedi 30 avril, à 10 h 30, à Noyers-sur-Serein, dans l'Yonne, berceau de la famille d'Agnès Dupont de Ligonnès née Hodanger[43].

Voir aussi

Liens externes

Références

  1. Diesbach.com, consulté le 25 avril 2011
  2. Adresse postale sur photo Ouest-France
  3. Nantes : « Xavier travaillait tout le temps même en congé », Le Figaro, 26 avril 2011
  4. épisode de la fuite en Afrique
  5. CGVVR.org, consulté le 27 avril 2011
  6. La SELREF
  7. tentative de création d'entreprise aux Etats-Unis
  8. intermédaire américain
  9. Profil du père, Libération, 22 avril 2011
  10. Tuerie de Nantes : Internet bruisse et mène l?enquête, Nouvelles de France, 25 avril 2011
  11. Le père incroyant, Le Nouvel Observateur, 28 avril 2011
  12. Une famille si discrète, France Soir, 23 avril 2011.
  13. RMC.fr
  14. Tuerie de Nantes : Arthur le fils aîné était étudiant en Vendée, Ouest-France, 26 avril 2011
  15. Tragédie de Nantes: à Angers, la police s'est rendue au foyer du fils cadet, Ouest-France, 23 avril 2011
  16. Les Dupont de Ligonnès, une famille sans histoire, 7 sur 7, 22 avril 2011
  17. Une famille si discrète, France-Soir, 22 avril 2011
  18. Le couple Dupont de Ligonnès était très pratiquant selon la presse française, lematin.ch, 22 avril 2011
  19. achat de balles de carabine avant le meutre
  20. dates au stand de tir
  21. Ouest-france.fr
  22. Le Monde
  23. Soir du 3 avril au cinéma
  24. Coup de téléphone avec sa soeur
  25. Le Cavier / la Croix Cadeau
  26. Drame de Nantes: dîner père-fils le 4/4, Le Figaro, 28 avril 2011
  27. dernier repas de Thomas
  28. AFP: « Tuerie de Nantes: dernières "traces de vie" d'une famille dite "ordinaire" »
  29. la Perverie Sacré-Coeur
  30. Tuerie de Nantes : le troublant témoignage d'un ami de Thomas, Le Parisien - Aujourd'hui en France, 25 avril 2011
  31. Nantes : Une ex-petite amie de l'un des fils témoigne, RTL, 26 avril 2011
  32. Carabine héritée
  33. Témoignages des voisins
  34. La Cite Catholique
  35. adresse IP
  36. email du 8 avril
  37. Europe1.fr
  38. Citroën C5 bleu métallisée
  39. Cavale du père
  40. La piste du monastère.
  41. mandat d'arrêt international
  42. Presse Océan, 28 avril 2011
  43. Obsèques de la famille Dupont de Ligonnès, Le Figaro, 27 avril 2011

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